L'insupportable clochette, douce musique, sonneras-tu pour moi ? [PV Silver]

L'infernale clochette de la porte sonnait lorsque quelqu'un entrait et sortait. Dés qu'elle retentissait comme une musique en boucle, Lucia regardait en l'air. Elle espérait, mais espérait quoi ? Que quelqu'un vienne la chercher? De sortir d'ici? C'était strictement impossible, elle était qu'une poupée de la société détruite, un déchet qu'ils avaient jeté parcqu'elle n'était bonne à rien!

Pourtant Lucia espérait, et c'était ce peu d'espoir qui la faisait vivre ou du moins rester en vie, car elle était tout, sauf en train de vivre...Enfermer dans une cage trop petite pour elle, elle devait se recroqueviller et ne pas trop lever la tête pour pas se taper contre le plafond de sa cage. Elle se sentait à l'étroit, oppréssé. Elle suffoquait et rien ne pouvait lui donner de l'air.

Lucia regardait la vendeuse qui lisait un journal de mode en sirotant son café. En pensant à tout ce qui ce ramenait à la nourriture, le ventre de Lucia grondait. La nourriture qu'elle mangeait ici était horrible du coup, elle ne mangeait rien.

Soudain, la clochette retentit encore, cette infernale bruit. Lucia se boucha les oreilles et une perle coula sur ses joues pour tomber et mourir sur le sol. La vendeuse vint la voir et ouvrit la cage pour lui donner le repas: du poisson surgelé, qu'elle n'avait même pas pris la peine de chauffer. Lucia lui envoya la gamelle hors de la cage et reçut comme récompense une baffe.

Au même moment, une femme entra. Très beau, de longs cheveux bleu, des yeux de la même couleurs. Il sembla à Lucia qu'elle la regardait avec pitié. La pitié, quelque chose qu'elle détestait! Elle se cacha de la jeune femme tant bien que mal, elle espérait juste une chose: qu'elle ne verrait pas ses larmes. Car ce liquide transparent coulait à flot sur ses joues dont l'une était rouge à cause de la baffe de la vendeuse. Elle vit la femme sortir déçut de ne pas avoir trouver quelqu'un à son goût...

Si seulement, elle pouvait sortir d'ici....

Un matin comme les autres venait de ce levé sur cette planete que l'on apel la terre, enfin c'était ce que je pensais, mais je me trompais ce jour allais être LE jour. Je sortais d'une soirée entre copain alors je ne me sentais pas trop bien alors je sortis une cigarette de mon paquet et je l'alluma pour faire passer le temps. Je pris mon petit déjeuner en pensant a se qui allait se passer. En regardant les information je vis qu'il y avait un refuge de neko abandonné ou capturer se qui me mit hors de moi, quand je vis où l'endorit en question étais localisé je ne pris même pas la peine d'eteindre la télévison que je m'étais déja envolé vers cette endroit infame qui ne devrait même pas exister.

Arrivé dans ce refuge je piqua du nez pour troué le plafond et donc surprendre la foule de ses hybride enfermé, je dois bien protéger les mien car je suis un rebelle et je ne peux accepter que certain sois traité comme sa. Je regarda la vendeuse, voyant de la colère dans ses yeux je ne pus m'empecher de tenter de la faire fuir avec mon regard de chasseur, mais cela ne marcha pas elle sortit un fouet pour tenter de me blesser et donc me capturer. J'attrapa le fouet de la main droite et avec la dextérité d'un chat et la vitesse de l'eclair je me retrouva devant elle en train de la soulever de l'autre main.

Relaché ses hybride tous de suite où je me verais obliger de vous tuer.

Cela venait du fond du coeur et j'en étais capable, quand elle me cracha au visage la colère monta très vite a la surface et je dit a tous les hybrides de se retourner et il démembra la jeuen femme sans la moindre pitier. Quand j'eux fini le travail je libéra tous les hybride a la force de mon poing et enleva toutes les cages et je dit :

-Fuyer où vous pouvez tant que vous le pouvez.

Alors qu'elle commençait à trépasser et s'endormir lentement, elle entendit un énorme bruit de mur détruit et vit un rebelle se dirigez vers la vendeuse qui essayait de le dresser. La suite la choqua plus qu'autre chose, la vendeuse se fit démembrer devant ses yeux et du sang gicla sur son visage, ensuite les cage furent démolie.

Malheureusement pour Lucia, son instincts lui disait de ne plus bouger et même si elle le voulait, la peur la paralysait. Elle resta donc au fond de sa cage en tremblant de tout ses membres. Les yeux exorbité et effrayé, des larmes coulant à flots sur ses joues, Lucia se tapit au fin fond de sa cage en espérant ne pas être vue pendant que les autres hybrides couraient libre et heureux d'être enfin sorti après ce dure labeur.

Elle attendit que tout le monde soit partit, même l'homme aux cheveux bleu et à la forte musculature, car elle était effrayé par lui et par ce qu'il pourrait lui faire. Elle se fit donc toute petite en espérant ne pas être vue, mais c'était peine perdu car lorsqu'un hybride sortit, il marcha sur sa queue lui faisant pousser un cri de douleur.

Elle ramena sa queue vers elle et espérait qu'il ne l'avait ni vu, ni entendu, mais elle était sur que si....

Après avoir vu tous les hybrides courirent fier et heureux de leur nouvel liberté, je m'apretait a partir quand soudain j'entendis le miaulement d'une neko ce qui me fit tourné immédiatement la tête. Je m'approcha d'elle et plus je m'approcha plus elle se repliais sur elle même. Je rangae mes ailes pour ne pas faire plus de dégats autour de moi et je m'approcha de la jeune fille en tendant la main pour lui montrer que je ne lui voulais pas de mal en disant de ma voie la plus tendre :

-Ne t'inquiete pas je n'en ai pas après vous les hybride mais après les maitres qui maltraites leur comment dirais-je esclave.

Je pris la main de la jeune fille pour la faire sortir, je vis qu'elle pleurais se qui m'attrista un peu puis je la regarda dans le blanc des yeux pour tenter de l'endormir, ce qui fonctionna très bien. Elle tomba de tous son poid alors je la rattrapa tous en déployant mes immense ailes puis je décolla pour allé chez moi et ainsi la faire se remettre de son choc émotionnel. Arrivé chez moi je rangea mes ailes puis j'enfila un t-shirt. Je posa la jeune fille sur mon lit et je m'asseya sur une chaise a coté du lit en attendant qu'elle se reveille. Avant d'aller m'asseoir je fuma une cigarette dans mon salon histoire de me détendre un peu car j'étais sur les nerfs. Après ma cigarette je regarda le visage de la jeune demoiselle qui ressemblait a la belle au bois dormant allonger sur mon lit.